Le cryptage du VPN

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La cryptographie asymétrique est la solution aux limitations inhérentes à la cryptographie symétrique. Whitfield Diffie et Martin Hellman ont été parmi les premiers à essayer de surmonter ces limitations en développant un algorithme asymétrique appelé Diffie-Hellman. Vous voulez donc des informations sur le meilleur VPN en globalwatchonline ? Alors, regardez. 

Diffie Hellman

Diffie-Hellman est un algorithme cryptographique populaire qui est fondamental pour de nombreux protocoles VPN, notamment HTTPS, SSH, IPsec et OpenVPN. Cet algorithme permet à deux parties qui ne se sont jamais rencontrées de négocier une clé secrète, même lorsqu’elles communiquent sur un canal public non sécurisé tel qu’Internet.

Le hachage, en comparaison, est une forme de cryptage unidirectionnel et irréversible. Il est utilisé pour protéger l’intégrité des données transmises, comme les mots de passe. La plupart des protocoles VPN utilisent des algorithmes de hachage pour vérifier l’authenticité des messages envoyés par le VPN. Les exemples sont MD5, SHA-1 et SHA-2. Cependant, MD5 et SHA-1 ne sont plus considérés comme sûrs. Prenons l’exemple du Free Netflix VPN sur notre site. 

Capture d’écran d’un ordinateur avec un code de cryptage

Quelqu’un peut-il vraiment pirater un VPN ? En cryptant vos données et en utilisant des serveurs DNS privés, les VPN restent l’un des moyens les plus efficaces de préserver la confidentialité en ligne. Cependant, il est important de noter que tout peut être piraté. Cela est particulièrement vrai si vous êtes une cible de grande valeur et que votre adversaire dispose de beaucoup de temps, d’argent et de ressources. La bonne nouvelle, c’est que la plupart des utilisateurs n’entrent pas dans la catégorie “grande valeur” et ne risquent donc pas d’être montrés du doigt.

Le piratage d’une connexion VPN peut se faire de deux manières. Un pirate peut soit casser le cryptage par des vulnérabilités connues, soit voler la clé par des moyens non éthiques. Les attaques cryptographiques sont utilisées par les pirates et les cryptanalystes pour extraire le texte en clair des versions cryptées sans la clé. Toutefois, le décryptage du cryptage est un processus exigeant en termes de calcul et de temps. Il faut parfois des années à des ordinateurs puissants pour casser le cryptage.

Au lieu de cela, la plupart des attaques cherchent à voler les clés. Les services d’espionnage préfèrent cette méthode à la tâche complexe consistant à casser le cryptage. Le cryptage étant complexe sur le plan mathématique, le vol d’une clé est une tâche beaucoup plus facile. Leur succès est dû à une combinaison d’astuces techniques, de puissance de calcul, de tromperie, de décisions de justice et de persuasion en coulisse.Les VPN peuvent être piratés.

Mais il est difficile de le faire. En outre, le risque d’être piraté sans VPN est nettement plus élevé que celui d’être piraté avec un VPN. Vulnérabilités et exploits VPN existantsEdward Snowden et d’autres chercheurs en sécurité ont précédemment révélé que l’agence d’espionnage américaine, la NSA, a craqué le cryptage qui protège une grande partie du trafic internet, y compris les VPN. Les documents Snowden montrent que l’infrastructure de cryptage VPN de la NSA implique d’intercepter le trafic crypté et de transmettre certaines données à des ordinateurs puissants. Les ordinateurs rendaient alors la clé.

Chercheurs en sécurité

Les chercheurs en sécurité Alex Halderman et Nadia Heninger ont également présenté des recherches convaincantes suggérant que la NSA a développé la capacité de décrypter une grande partie du trafic HTTPS, SSH et VPN. Cette attaque est connue sous le nom de Logjam.

Leur succès reposait sur l’exploitation d’une faiblesse dans une implémentation commune de l’algorithme de Diffie-Hellman. La cause première de cette faiblesse est le nombre premier utilisé pour mettre en œuvre le cryptage. Les chercheurs estiment qu’il faudrait environ un an et quelques centaines de millions de dollars pour construire un ordinateur puissant qui serait capable de craquer une seule prime Diffie-Hellman de 1024 bits. C’est un coût que la NSA peut se permettre, mais il ne serait pas suffisant pour déchiffrer les multiples clés de chiffrement qui sécurisent des millions de sites web et de VPN.

Malheureusement, les chercheurs ont constaté que seuls quelques nombres premiers sont couramment utilisés pour le cryptage 1024 bits. Cela s’applique également à des applications telles que les VPN, ce qui facilite encore plus leur violation. Selon Bruce Schneier, “les mathématiques sont bonnes, mais les mathématiques n’ont pas d’agence. Le code a une agence, et le code est subverti”.